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Reperches

Pensées par slogan...

Comment s'en sortir sans sortir?
sculpter l'air de l'ère délétère
en aucun cas la catastrophe n'épuise le sens du possible: cata-strophè...
le jeu est toujours un je avec le feu...métallurgie intensive
lucidité;ludicité
donner consistance au chaos
sans rien perdre de l'infini dans lequel la pensée plonge
dans ces phantômes pré-individuels
ma faim qui d'aucun fruits ici ne se régale
trouve en leur docte manque une saveur égale
devenir armé pour une polémologie de la hantise
par et dans une organologie pluriverselle
comment se dé-couvre par trans-formation
la clâmeur par ex-clamation de notre prothéticité
à la pointe de notre ignorance
palabres du poisson-volant
pour s'aimer-veiller
en z mineurs

 

 

Strates Temporelles

12 juin 2010 6 12 /06 /juin /2010 19:09

 


Les dix premières minutes du seul et unique film réalisé par le grand écrivain Georges Perec en 1974.

"Un homme qui dort", adapté du roman éponyme, ne compte qu'un seul personnage, muet pendant 1h17, aucune histoire, aucune péripétie, aucun dialogue, seulement un texte lu en voix off. Mais quelle voix - Ludmila Mikaël, comme possédée par les mots - et quel texte ! Une contestation sans concession de la société à travers la description minutieuse des faits, des gestes et des pensées d'un homme "qui se retire du monde parce que la vie ne lui parle plus".

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